Le FIBD d’Angoulême traverse une crise depuis les révélations du journal L’Humanité sur un management toxique. La colère s’est cristallisée autour de celle que l’on appelait Chloé, une salariée affirmant avoir subi un viol…
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L’ancienne responsable parle sept langues et a huit ans d’expérience sur le continent asiatique. Mais tous les entretiens qu’elle a pu passer au cours de ces derniers mois se sont avérés infructueux : “On m’a dit qu’il fallait des références de mon ancien employeur, mais c’est impossible. Ça a vraiment brisé ma carrière.”
Le système de référence c’est quand même de la grosse merde.
Si même le service public se met au clickbait…



