

Interressant merci !
Interressant merci !
C’est qui ce fameux Stéphane ?
Ce qui est grave, c’est qu’il est impossible d’échanger un billet avec correspondance sur SNCF connect. Je fais régulièrement le trajet Rouen Bar le duc et systématiquement, il y a toujours des soucis et les services Nomad/inouï/ter grand Est sont séparés donc impossible d’échanger l’ensemble. Par contre en allant voir un humain au guichet de la gare tout ce règle en un coup de cuillère à pot. D’un côté, on t’oblige à passer par le site, d’un autre le site ne propose pas le service le plus simple du monde : échanger ton billet quand ton train est annulé.
Enfin, le pire que j’ai vu c’est un gars a Saint Lazare qui n’ayant pas son tel voulais changer son billet numérique pour une version papier. Les agents l’on renvoyé sur une borne…qui lui a signifié que sont nouveau billet lui avait été envoyé par mail. Le mec était fou !
Que les media soient anti-trump tout le monde est ok, c’est la suite qui est complètement pété, tu crois vraiment que c’est une démonstration implacable ?
Accorder une grande importance aux marqueurs sociaux ( téléphone, fringues, jouets a la mode pour les gosses…) c’est tout a fait logique quand on a un statut social bas.
Ah ah, tu m’as mal comprise, je ne change pas de boulot ! J’adore mon travail dans la création et tant que j’arrive à en vivre je ne suis pas prête à laisser tomber. Je fais partie d’un collectif d’artistes, je bosse quasiment en auto prod et on monte des collectifs de compagnies pour gérer des cours dans les festivals promotionnels ( Aurillac, Châlons) Du coup quand on m’a branchée sur un projet de supermarché collectif, j’ai plongé bien évidemment. Donc voilà, c’est justement le financier qui tranche ce qui est prioritaire ou pas, le temps c’est de l’argent. Mais il y a aussi un autre point très important c’est savoir si le projet te donne de l’energie en retour ou au contraire ne fait que de te pomper.
Le projet de supermarché est vraiment vraiment passionnant et comme justement je n’ai pas de projet de salariat cela me permet de mettre le stop des que cela empiète de trop sur mes engagements pro, ma vie de famille ou mon moral car les désillusions sont nombreuses.
Reste a gérer sa frustration d’abandonner certaines choses où l’on a investi beaucoup, mais d’une manière générale si une bonne idée n’a ni écho ni relais au sein du collectif, c’est souvent que ce n’est juste pas le bon moment.
C’est bien pour cela qu’il y a aussi des salariés, car pour tenir le tout il faut bien qu’il y ai aussi un groupe de personnes qui donnent (beaucoup) plus que trois heures. Je ne suis pas pour l’exploitation de soi par soi, je bosse dans le milieu du spectacle donc je connais bien le problème. Et je suis complètement d’accord avec toi pour le revenu universel ( un vrai, on est bien d’accord)
Je participe au montage d’un supermarché cooperatif et ça me fait bondir de lire des commentaires comme ça.
Donc non, les supermarchés coopératifs ne participent pas a l’uberisation de la société.
Je participe actuellement au montage d’un supermarché cooperatif, et je peux te garantir qu’il n’y a aucune redistribution des dividendes. L’ensemble des bénéfices va a des baisses de marges, des investissements dans le magasin ou possiblement un don a une association . L 'AG rassemblant l’ensemble des coops ( une personne=une voix) le décide.
Justement, l’article parle d’un impôt mondial. Impossible d’y échapper donc, a moins de partir sur mars. Enfin bon ça ressemble de toute façon a de la science fiction
C’est ce que j’appelle avoir le beurre et l’argent du beurre ! Je serai bien curieuse de savoir comment ça pourrait fonctionner, car ça semble juste complètement irréaliste, non?
“Perso ce que j’aimerais voir c’est une sorte de “magasin général” où les adhérents/sociétaires/subventionnés pourraient prendre ce dont ils ont besoin sans payer. Il y aurait des quotas pour limiter les abus, mais ils seraient largement au dessus de la conso moyenne d’un foyer. Ce serait des produits de première nécessité, insuffisants pour remplir un frigo médian mais assez pour survivre: huile, pates, farine, riz… Ceux qui ont les moyens compléteraient vraisemblablement avec du supermarché et utiliseraient assez peu ce qu’on y trouve, mais les plus pauvres auraient la possibilité de vivre quasiment exclusivement avec ce contenu. Et petit à petit, on enrichit le catalogue.”
En fait, ça existe déjà avec les épiceries solidaire, les épiceries autogérées et les supermarchés coopératif. Mais on ne peu pas avoir le beurre et l’argent du beurre ( c’est le cas de le dire).
Subventionnés: Les épiceries solidaires
Elles sont réservées uniquement aux personnes orientés par les travailleurs sociaux, leur stock provient de dons , vendu à prix cassé entre 10 et 30% de leur prix dans le commerce. Mais on reste dans l’aide sociale avec tout ce qui va avec.
https://www.aide-sociale.fr/epiceries-sociales/
Adhérents: Les épicerie autogérées
Ce sont des initiatives citoyennes auto-organisée et qui se revendiquent d’une totale horizontalité. Elles fonctionnent sur un système d’adhésion ( loyer, charge, frais) puis chacun provisionne son compte de manière libre sur le principe du crédit positif. Les produits y sont vendu à prix coutant, sans marge. Mais les produits qu’on y trouve sont principalement des produits bio/locaux, car ce type de structure est trop petite pour avoir accès à des grossistes.
Sociétaires: Les supermarchés coopératifs
Ce sont également des initiatives citoyennes auto-organisées mais ou 20% de la gestion repose sur une équipe de salariés. Elle s’inspirent directement de la Park Slope food de New-york modèle perenne depuis 1973. Les clients-coopérateurs possèdent tous des parts du magasin et s’engagent à donner de leur temps à raison de 3h par mois. Le catalogue se veut être une offre la plus complète possible avec des produits bio/locaux mais également du conventionnel et le travail avec des grossistes. Les produits sont vendu avec une marge unique autour de 20% ( loyer, charges, frais, salaires). Tout les bénéfices sont directement réinvestis dans le magasin. Les supermarchés coopératif ont pour objectif une transformation systémique, quand les épiceries auto-gérée s’inscrivent plutôt dans l’expérimentation politique et sociale.
La Cagette supermarché coopératif de Montpellier est ainsi très actif dans l’expérimentation en cour de sécurité sociale de l’alimentation.
Je pense avoir compris: En voulant répondre aux arguments de l’ED, il reprend leur narratif qui associe Islam et nazisme. C’est en effet islamophobe. J’ai bon ?